Littéréticulaire : adj. (de littéraire et réticulaire), propriété d'un texte où s'associent, aux valeurs traditionnelles et aux figures classiques du texte littéraire, les significations et effets de sens provoqués par les liens hypertextuels au sein d'un réseau (l'internet par exemple), qu'ils aient été voulus ou non par l'auteur. |
Pour tout commentaire,
on peut m'écrire à "berlol" chez "inter.net".
Mercredi 19 novembre
Si j'écris "aujourd'hui, rien", est-ce que ça fera
une révolution en France Rien... parce que la conférence de Marcel Détienne à l'IFJT est annulée. Moi qui m'en faisais un plaisir depuis longtemps! A la place, je vais écouter George Steiner sur France Culture. C'est un peu comme passer du jardin au local-poubelles... Le restaurant
d'Akita trouvé hier soir à Ginza était vraiment
excellent. Je le recommande. |
Jeudi 20 novembre
Jour de pluie |
Vendredi 21 novembre
Soleil. O hayooo... (''O-O'') Lendemain de débat Pierre NORA / KAWAI Hayao, (im)modérés
par MIURA Nobutaka, à la MFJ. Belles paroles, quelque peu resucées...
Mais mondanités agréables comme rarement. La température repasse au-dessus des 15 degrés, très étonnant pour une fin novembre. Beaucoup de gens sont décalés, ils ont aujourd'hui leur parapluie d'hier, ils portent sur le bras qui son blouson qui son manteau. Et tout cela transpire gros dans les métros. Mangez de l'agneau ! |
Dimanche 23 novembre
Enfin, un jour à peu près tranquille. Pas de cours à donner, pas d'urgence pour en préparer d'autres, long bain et rasage en réfléchissant à ce que c'est que la vie. Je me suis rappelé qu'hier, un condisciple du lycée
m'a envoyé un courriel après avoir trouvé sur mon site
un poème dans lequel il est question d'une copine dont tous les garçons
étaient croques, nous compris, au point que plus de vingt ans après
il se rappelait du numéro de sa rue. Phénomène étonnant
que la présence de ce poème, qui m'amène chaque année
une ou deux personnes souhaitant renouer ou tout au moins avoir des nouvelles Tout cela m'a amené vers midi, quand même. Avec l'écoute du dialogue déprimant entre Pierre Jourde, Richard Millet et Alain Finkielkraut (Répliques : L'adieu aux paysans). |
Mardi 25 novembre
Débordé... |
Mercredi 26 novembre
Débordé... |
Jeudi 27 novembre
Over débordé... Quand même, ça repose de lire un truc comme ça ! |
Vendredi 28 novembre
Hou la la, qu'est-ce que j'ai fait le 28... Je vais regarder mon
agenda. Ah, vendredi dernier Je laisse tomber et je vais voir les intervenants d'une table-ronde
sur Barthes (IFJT) en
prologue d'un colloque de Todai ce week-end Pauvre Barthes |
©Berlol, 2003