Fait froid dans le dos

mardi 17 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
« L’horizon polémologique » : « […] Quel que soit le jugement qu’on puisse porter sur la virtuosité artistique de l’auteur, et éventuellement d’ailleurs sur son habileté à susciter le scandale pour exciter l’appât des acheteurs. […] la réalité c’est le texte, la réalité d’ailleurs beaucoup plus intéressante, c’est le texte qu’on a

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Sur le pourquoi profond des traques

lundi 16 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
Brève et négligeable sortie, l’essentiel est à la maison, lectures et auditions. Autres enregistrements en retard sur France Culture : Catherine Robbe-Grillet dans le journal de… (où l’on reparle de masochisme et de femmes-maîtresses), Frédérique Clémençon dans À plus d’un titre (sur le pourquoi profond des traques — Frédérique, tu es trop modeste !), Surpris par la nuit sur

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Avec nos lourds ordinateurs portables de l’époque

dimanche 15 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
Après le brunch et quelques pâtes à la tomate, en route pour la gare de Tokyo et le magasin Maruzen où T. veut me montrer des montures de lunettes qui lui plaisent. Mais le centre commercial Oazo qui abrite la librairie qui abrite l’opticien est exceptionnellement fermé aujourd’hui, sans raison affichée. Qu’à cela ne tienne, T. est aussi intéressée par un trench-coat chez Burberry, dans l

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L’axe accidenté de l’érotisme

samedi 14 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
De 5 à 8 heures, choix de notes pour présenter Françoise Sagan et Bonjour tristesse, écarter les touffes de clichés et de médisances, se figurer un peu l’ambiance de 1954 et entamer le texte. Il y a aussi le poème de Paul Éluard, mis en exergue sans son titre, À peine défigurée (lui aussi), qui renvoie massivement au visage, à l’amour « des corps aimables », qui relie l’impression

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Des quatre côtés avec un grand couteau

vendredi 13 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
Tiens ! Un vendredi 13 ! Ça ne m’impressionne pas, mais alors pas du tout. Si chance il y a, c’est que c’est le dernier jour de mes surveillances. Et aucun moment pour lire ou surfer. Cette fois, je ne me fais pas avoir comme hier : je me prépare des sandwiches, exactement comme le fait Bill, à la fin de Kill Bill 2, peu avant de mourir, je veux dire avec du pain carré toasté et en coupant

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L’enclume s’évapore

jeudi 12 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
Haïku numéro 1 (solder 2008) : L’appel attendu Une fleur de prunier éclot L’enclume s’évapore Même régime qu’avant-hier, avec encore moins de temps pour déjeuner. D’ailleurs, je ne déjeune pas parce qu’il y a encore des coups de fil à donner (pour l’eau, le gaz, l’électricité). Pendant les surveillances, ça m’arrive de temps en temps, j’ai

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À la fourmi qui vient

mercredi 11 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
Épuisante journée, bien que je ne sois pas sorti d’un périmètre de vingt pas. Tôt le matin, j’ai descendu un vieux bureau et diverses affaires dans mon local à vélo, en vue du ramassage du 26. Ensuite, j’ai fait du ménage pour accueillir des gens. D’abord un de mes collègues, qui sera mon garant pour le contrat, avec qui on prend un café en attendant les autres. Qui sont l’ag

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Des médiateurs immédiatement

mardi 10 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
Premier jour de mes surveillances de concours d’entrée, de 9h30 au point de rassemblement, pour dernières consignes et documents de chaque session, à 16h40. Une session d’une heure et deux d’une heure et demie, dans une même salle de 44 candidats, facile à surveiller, sous la direction d’une collègue avec qui j’avais plutôt l’habitude de jouer au ping-pong — nous nou

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Dans ma probable bientôt future rue

lundi 9 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
Enregistrements d’hier et de ce matin : Olivier Rolin diffusé avant-hier aux Lundis du CNL du canal des Chemins de la connaissance, Bernard Pingaud dans Surpris par la nuit le 2, Jean-Luc Nancy dans Du jour au lendemain du 4, Jeux d’épreuves de samedi, surtout pour ce qu’on dit sur Philippe Vasset, enfin Fictions/Drôles de drames avec la première partie d’un cycle Henry James. En reva

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Les exceptions étaient rares

dimanche 8 février 2009, à 23:30 — par Berlol – Enregistrer & partager
Un petit dimanche avec du soleil et du vent. Grasse matinée. Pain chez Kayser pour brunch. Lectures. Courriers. Correction de copies. Sortie de moins d’une heure pour de petites courses, comme renouveler le stock d’oranges. Voyez le genre. (Et si je le note, et l’ajoute même, ce n’est pas pour ennuyer mes quelques lecteurs, mais pour ma propre mémoire, consultable d’où que je sois,

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ErOs & thanatOs enchaînés au trou vide du néant

samedi 7 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
Encore un lever à 5 heures pour préparer le cours de l’Institut, qui sera la dernière séance consacrée à Histoire d’O — avec un O comme Odile, comme les orifices de son ventre et de ses reins, pour reprendre les euphémismes réagiens, comme une bouche ouverte par surprise — Ô — ou par autre chose, mais aussi O comme anneau d’esclave passé dans une lèvre, piercing avant la mode, ou

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Lave expulsée du volcan familial

vendredi 6 février 2009, à 23:59 — par Berlol – Enregistrer & partager
Dans le bain, je commence le livre de Chloé Delaume et, sortant à peine de celui de Frédérique Clémençon, encore plongé dans sa musique ample et sinueuse, ce qui saute aux yeux et aux oreilles, c’est l’intensité, la saccade, le hérissement des phrases et des effets de sens. Pas d’esprit de notation ou de hiérarchie dans ces remarques, mais véritablement le passage d’un monde à u

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