Littéréticulaire : néol., adj. (de littéraire et réticulaire), propriété d’un texte où s’associent, aux valeurs traditionnelles et aux figures classiques du texte littéraire, les significations et effets de sens provoqués par les liens hypertextuels au sein d’un réseau (l’internet par exemple), qu’ils aient été voulus ou non par l’auteur.

Le Journal LittéRéticulaire est né en novembre 2003, sans intention particulière… Il a déjà migré 3 fois de site et le voici dans sa version 2.0 depuis août 2008, qui est donc sa 4e enveloppe éditoriale. Jusqu’à avril 2009, il a été quotidien, puis une certaine lassitude et d’autres activités l’ont rendu plus aléatoire…
Toutefois, pour éviter les aléas des nouvelles technologies, des pannes et des attaques de serveurs, mais aussi pour une recherche plus fluide dans l’intégralité du journal (jusqu’à avril 2009), il peut être consulté dans sa version intégrale, mensuelle et statique (sans possibilité de commentaires).
La précédente mise en page est également accessible ici (de septembre 2005 à août 2008, sans possibilité de commentaires non plus).

Le JLR n’est pas un journal intime, ni une revue de textes littéraires, ni un site d’explication de texte, ni une chronique de voyage, ni une scène d’expression politique. En fait, il est tout cela à la fois. Et c’est cet à la fois, tantôt amalgame, tantôt alternance qui en fait l’originalité et, peut-être, l’intérêt.

L’auteur du JLR ne se cache pas derrière le pseudonyme Berlol. Il utilise ce pseudonyme pour tracer la frontière invisible entre l’individu réel, enseignant au Japon dont le destin n’a rien d’exceptionnel, et l’auteur de ce journal, être fictif d’essence littéraire dont l’œuvre est sublime, forcément, mais aussi mondiale et gratuite.

Qu’on se le dise ! Et bonne lecture !

Berlol.