En laisser juste assez pour faire nature
mercredi 16 septembre 2020, à 15:13 par Berlol – Enregistrer & partager
Là où je cours tous les matins, des arbres jalonnent et surplombent, irrégulièrement. Ils ont été pris dans l’urbanisme piétonnier entre une gare et un hôtel, mais n’ont jamais respiré les pots d’échappement.
L’architecte de la promenade de 600 à 700 mètres a dû en faire abattre, à l’époque, pour la perspective, et en laisser juste assez pour faire nature.
Ce matin, séminaire de cinéma, à distance. Présentation rapide de la Nouvelle Vague – dans sa définition française. Puis surprise des étudiants : le film qu’ils ont à regarder est japonais, date de 1960 et s’appelle Bon à rien…
Publié dans le JLR