Est-ce pour un auditorat particulier ?
Encore une fois, l’ayant indiquée à l’ami JF, j’ai adoré écouter Olivia dans Les bonnes feuilles. Sa voix nette et rapide me plaît toujours, me donne toujours l’image de son visage souriant de l’époque de L’homme de mes rêves. Ces quelques lignes de son nouveau texte – ces Mécanismes de survie que je lirai bientôt avec délectation, j’en suis sûr – sont déjà très attirantes.
J’avoue que cette émission ne m’intéresse pas à chaque fois. Cela dépend des auteurs… mais aussi des questions posées, pas toujours bien finaudes. Ou bien est-ce pour un auditorat particulier ?
Ce matin avait lieu le dernier examen du semestre. Tant mieux parce que l’ambiance stressée que produisent les étudiants de première année était pénible ; malgré la précision du programme de révision, c’était comme s’ils n’avaient pas confiance. Comme si tout le travail fait par devant était sapé par derrière.
Mais par qui ? Peu importe. Les résultats sont là, bons pour la grande majorité d’entre eux.
Ceci dit, il va falloir synchroniser à nouveau les cours de communication et le cours de grammaire. Inacceptable que le passé composé ou les pronoms personnels compléments soient traités en grammaire avec deux ou trois semaines de retard !
Côté séminaire de 3e année, les rapports qui m’arrivent sur la question de l’identité vue par les films La sirène du Mississipi, De battre mon cœur s’est arrêté et Dédales sont plutôt bons. Surtout que pour certains étudiants (pour ne pas dire la plupart), c’est la toute première fois qu’ils s’interrogent sérieusement et doivent écrire sans travail prémâché…
Avant de dormir, relire encore les deux derniers chapitres de Moderato cantabile – les plus retors – pour vendredi, le dernier cours de l’Institut.
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Publié dans le JLR