Le goût du cœur d’artichaut
À Kyoto, expériences gustatives, tout en vaquant à diverses activités, pour ce jour finalement sans pluie, alors qu’un déluge s’abat sur l’île de Kyushu.
Surprenant thé vert glacé chez Kagizen, onctueux sans consistance poudreuse ni mousseuse ni amertume.
Dégustation de prunes marinées (umeboshi) et d’infusion de prune chez Ousunosato, tout le fruité et moins de 5% de sel.
Après trois heures de marche, soupe avec nouilles de sarrasin et hareng fumé façon kyotoïte, nommée nishin soba et accompagnée d’une bière Sapporo.
Deux heures plus tard, avec la patronne de notre hôtel, exceptionnel feuilleté à la crème au Grand-Marnier chez Baikal.
Toujours avec la patronne, dégustation de sucreries au pamplemousse et au shiso chez Konpeito, derrière l’Institut du Kansaï, recette portugaise précieusement conservée et développée.
Au dîner, mise en bouche au gobo (proche du salsifis), qui a presque le goût du cœur d’artichaut. Et plein d’autres choses, mais qui ne sont pas nouvelles… Demain, on mangera moins.
Publié dans le JLR