Porcelaine un jour
Une petite semaine à Paris début août. Bonheur du parking gratuit combiné à l’absence des Parisiens… Forêt de Sénart, des champignons partout. Courses pour randonnées, Mazarinades cuites à point et… imperméables. C’est juillet qui continue, dit-on. Terrasse au soleil, tout de même, avec Christine, chaque jour plus twitteuse que blogueuse.
Quatre jours à Carnac, chez Guillevic, alignements de monolithes et empilements de coquilles d’huîtres. Des vents humides au Tumulus, on passe à un premier épisode plage & soleil sur l’île de Houat, qui n’est pas plate. Ballade recommandée à tous les marcheurs.
Deux nuits à Saumur, pas dans le château prévu, mais beaucoup mieux et pour le même prix (cause overbooking reconnu… et à moitié pardonné). Chambre Agathe, du nom de la charmante petite fille du patron… qui m’en rappelle une autre. Fontevraud et savonnerie de Candre.
« Nous avons d’abord découvert un bras, puis une jambe. L’horreur. Le torse était dissimulé plus loin, sous un tas de feuilles ; l’autre bras y restait attaché. Nos recherches nous ont ensuite permis de retrouver la tête, mais le soir tombait et il a bien fallu interrompre la battue. Elle reprendra demain. Une jambe manque encore. Le plus terrible, c’est que de forts soupçons pèsent sur Agathe, ma fille de trois ans, qui n’a jamais beaucoup aimé cette poupée. » (Éric Chevillard, L’autofictif, 1322)
Quatre jours en Sologne quand revient le beau temps. Sauf Gien et sa porcelaine un jour de pluie. Première mondiale : conférence aqueuse sur le Post-exotisme (vidéo à venir sur site PPE).
Deux jours et demi à Chatel-Guyon. Ça fait peur, tous ces curistes. Chaque matin, on s’enfuit ailleurs : Clermont-Ferrand (il faut monter à la Tour de l’horloge, dans la cathédrale), le Puy-de-Dôme (monter aussi, à pied, d’ailleurs petit train en construction), Thiers (montée voiturée, couteaux artisanaux) et Ambert (rien à monter,1 fourme et mairie ronde).
Quatre jours dans la campagne lyonnaise (en cours de déroulement).
Le soleil a cuit la feuille
qui tombe soudain
tiens ! dans mon long drink
- Sinon des bobards, style Les Copains, de Jules Romains… C’est aussi le nom d’un restaurant, sis face la mairie, ronde, donc, mais où nous n’avons pas mangé ; une autre année peut-être. [↩]
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Publié dans le JLR