Chaque jour que s’en est comique
« Peu de temps après mon arrivée en Slovaquie, je rencontrai une très belle jeune femme slovaque dont je tombai éperdument amoureux et avec laquelle j’allais vivre une histoire passionnelle qui devait durer près de cinq ans. C’est par elle que je pus obtenir des renseignements supplémentaires. » (Laurent Binet, HHhH, Paris : Grasset, 2009, rééd. Livre de poche, p. 14)
Son adresse
s’il te plaît
dans une autre vie.
Déjeuner avec Laurent et Bill au Saint-Martin, le dernier avant l’égaillement des vacances. Prise de tête sur ce qu’il faut manger ou pas. Le nombre de bœufs contaminés par les pailles irradiées augmente chaque jour que s’en est comique. Pendant qu’on parle des bovins, on ne parle pas des cochons, des poulets, des poissons, de tout ce qui, à bien plus que 200 km à la ronde, est contaminé à petite dose quotidienne.
Je commence le Binet. Dès les premières lignes, un parfum d’écriture. Je rends à l’Institut le Fargues (Le tour du propriétaire) et le Duteurtre (Le voyage en France) auxquels, malgré quelques dizaines de pages lues, je n’ai pas réussi à m’accrocher.
Tags : Binet Laurent, Duteurtre Benoît, Fargues Nicolas
Publié dans le JLR