Le tekstachtéèmèl, kantilètaparu
Après la bavette-frites au Saint-Martin — les bonnes habitudes reviennent — belle promenade avec T., Laurent et Bill sous les cerisiers de la promenade d’Iidabashi à Ichigaya. À mon avis, c’est le plus beau moment, quand le vent léger et tiède disperse les pétales qui tournoient de tous côtés.
Mais revenons au matin. Reprise des cours ; d’abord à l’Institut franco-japonais, avec Zazie dans le métro.
Depuis des années, je prépare mes cours en prenant des notes dans un traitement de texte, ce qui m’oblige à copier les documents d’un ordinateur à l’autre au gré de mes déplacements et provoque des problèmes de mise en page et de formatage des caractères lorsque j’en copie des parties dans mon journal…
Pour cette rentrée, j’ai décidé d’écrire et de stocker toutes mes notes de cours directement dans mon blog de fac, en y ajoutant des catégories. Il n’y aura donc pas de problèmes de formatage ni d’accès ici ou là — ce qui ne m’empêchera pas de faire des back-ups et de copier par la suite dans des documents html statiques et hors-réseau.
En fait, historiquement, le traitement de texte (Word, pour moi) a été la première étape dans le basculement numérique, dans les années 80-90. Ce qui veut dire que pendant plus de quinze ans, un sentiment de texte établi, sûr, fixe s’était installé, à condition toujours de faire des copies sur d’autres supports qu’un seul disque dur. À côté de cela, le tekstachtéèmèl, kantilètaparu, vers le milieu des années 90, semblait volatil, instable, déposé sur un serveur externe duquel il pouvait mystérieusement disparaître, et variable dans son affichage selon des paramètres qui ne semblaient pas maîtrisables. Cependant on pouvait aussi faire des copies de chacun de ses documents html et j’eus progressivement l’impression qu’ils étaient aussi stables que les documents word.
Et même supérieurs, me disais-je au début des années 2000, parce que word, finalement, on ne savait pas dekwasétéfè, on n’avait pas accès au code source comme on l’a en html. Quand on copie du word dans un document html, on voit apparaître dans le code source une quantité monstrueuse de balises et de codes pour la plupart inutiles, c’est tout à fait dégoûtant, on utilise d’ailleurs des programmes pour nettoyer le code… Sur ces entrefaites, leblognaki, et d’autres trucs auxquels je n’ai encore rien compris. Mais bon, le blog, je m’y mets, sur une plateforme, puis sur une autre, mais sans y faire confiance, on a d’ailleurs toutes les peines du monde à savoir à qui appartient quoi, jusqu’à en installer un dans son propre domaine, vers 2005, mais là on découvre qu’il y a une base de données incompréhensible, MySQL, dans laquelle on n’ose pas changer une virgule ou un point de peur que tout pète, et une interface de gestion par laquelle, si on a du réseau, s’il n’a pas été hacké ou virussé, s’il n’y a pas de panne de serveur, etc., on peut espérer gérer le truc. Bonjour, le sentiment d’instabilité ! À côté de ça, mon document html, c’est du béton armé ! Et combien j’en ai entendu qui pleuraient leur mère parce qu’ils avaient tout perdu leur blog de six mois ou de trois ans, parce que leur plateforme avait fermé, parce que leur fournisseur avait été attaqué pendant la nuit par des étudiants en informatique, parce que le soit-disant programme de backup était une vraie merde. Là aussi, il y a eu du changement en cinq ans. Mais j’ai toujours continué à écrire d’abord en html (avec NVU) puis à copier dans l’interface du blog, d’abord Dotclear puis WordPress.
Et maintenant, me voilà en train d’écrire directement dans la fenêtre WordPress pour ensuite faire une copie de sûreté dans NVU.
Ce changement a été exactement parallèle à celui de la connexion internet : d’abord ponctuelle, petit débit, modem qu’on écoute se connecter, puis ligne ADSL connectée en permanence mais par laquelle on dépose de temps en temps des documents en ligne par ftp, enfin fibre haut débit par laquelle on écrit en continu à distance. Dekwasrafèdemain ?
Et maintenant, pour celles et ceux qui ont tenu jusqu’ici, quelques notes zaziques et le cours en audio.
Pour élargir notre vision du livre Zazie dans le métro, voici quelques vidéos de l’INA.
- Sur la première, en 1959, très peu de temps après la sortie du livre, on découvre un Raymond Queneau plutôt timide, s’exprimant avec difficulté, puis prenant de l’assurance jusqu’à répondre à Pierre Dumayet que le rôle du métro dans le livre est… souterrain !
- Sur la quatrième, en 1961, à propos du comique, Queneau dit qu’il a plutôt été étonné… que ça se vende ! Et alors, y a-t-il de « l’humour noir » dans Zazie… ?
- La dernière, émission de 1988, constitue une bonne présentation de Raymond Queneau par ses amis de l’OuLiPo et quelques extraits d’émissions dont le très étonnant Arithmétique de 1951.
Par ailleurs, le Fonds Queneau, à l’Université de Bourgogne, propose quelques manuscrits à l’origine de Zazie, 40 pages de notes préparatoires, et beaucoup d’autres manuscrit. (Tous ?)
Il y a eu, en 1943, un récit, L’Enfant du métro, de Lucha et Madeleine Truel (1943). On ne sait s’il a donné une idée à Queneau ou s’il a contraint Queneau à ne pas suivre cette idée, dont il a finalement pris le contrepied — le titre « Zazie dans le métro » serait à la fois l’antiphrase de son contenu (style Arlésienne) et la référence à une source cachée.
Nous utilisons l’édition « folioplus classiques » de Gallimard, 2006-2009, 286 p.
« Doukipudonktan, se demanda Gabriel excédé », le premier mot (incipit) est un coup de maître !
- du point de vue narratif et structurel :
- entrée dans le vif du sujet (pas de commencement comme naissance, famille, etc.),
- pensée (se demanda) et parole sans guillemets (rupture de codes typographiques et d’habitudes de lecture),
- interjection et question rhétorique parce que Gabriel sait bien que cette odeur vient des gens qui sont autour de lui…
- c’est également une caractérisation du personnage de Gabriel : il se montre différent des gens qui l’entourent,
- du point de vue stylistique et linguistique :
- création d’un mot (néologisme subjectif ressemblant à une onomatopée, un bruit) qui est un agrégat de sons formant une expression,
- incorrection linguistique : « D’où qui pue donc tant ? » doit être compris comme : « Où et qui est-ce qui pue donc autant ? » (et « D’où vient…? » + « Qui pue donc tant ? »),
- réalisme phonétique presque scientifique : les gens parlent comme ça, la graphie ressemble à un enregistrement du son.
Contenu narratif du chapitre 1 :
- Gabriel attend à la gare d’Austerlitz (p. 7-9),
- arrivée du train, de Jeanne et de Zazie (p. 9-11),
- ils prennent le taxi plutôt que le métro, en grève, bizarre traversée de Paris (p. 11-17) — qui constitue donc la plus grande partie de ce chapitre, comme si le mouvement (du taxi) allongeait l’action, alors que les trois autres parties, statiques, sont plutôt brèves…
- ils s’arrêtent pour prendre l’apéritif (p. 17-18).
Notes sur le chapitre 1 :
page 7
— Ce 1er paragraphe est un monologue intérieur, avec intervention de narrateur omniscient (qui lit dans l’esprit de Gabriel et nous rapporte ses pensées). Ce monologue va d’une attitude scandalisée (injuste, exagérée) à un raisonnement tout à fait logique, sociologique et statistique (« choix », « hasard », « supposer », « raison »), en passant par une phase de documentation (« Dans le journal… »).
— Le raisonnement est comme la plaidoirie d’un avocat : d’un côté, ces gens sont coupables d’avoir une mauvaise hygiène, « D’un autre côté », ceux-ci ne sont pas pire que d’autres = c’est la nature des Parisiens ou des Français = relativisation.
— Se laver « sans » salle de bains, c’est ce que Marceline proposera implicitement à Zazie en mettant dans sa chambre « une table, une cuvette, un broc » (début du ch. 3, p. 30). Mais Zazie ne vient pas d’une « cambrousse reculée », elle connaît le « bidet » et « l’art sanitaire » (même p.) — c’est donc que Marceline, parisienne (?), a une fausse image de la province (d’où vient Zazie). Finalement écœurée par « ce primitisme », Zazie manifeste en fait le même goût que son oncle pour l’hygiène ; nous verrons que Gabriel et Zazie ont de nombreux points communs…
— Par ailleurs, les témoignages sont nombreux pour affirmer que la France d’après-guerre n’a pas encore le niveau d’hygiène qu’ont atteint d’autres pays européens ou d’Amérique du Nord, sans parler du Japon. On peut aussi penser que Gabriel ne vient pas souvent se mêler à la foule d’une gare. Du fait de sa position sociale ? De son statut d’artiste ?
— Cependant, cette accusation est contrebalancée peu après par la remarque d’une femme qui trouve que Gabriel sent mauvais, c’est-à-dire sent trop fort un parfum déplaisant. Le narrateur ne prend pas partie, le lecteur non plus (« elle était pas égoïste » serait presque une remarque ironique qui se retourne contre Gabriel…). Un duel verbal commence.
— note linguistique : dans le monologue (et ailleurs, ce n’est ici qu’un début), des tournures orales se trouvent écrites, rompant avec les conventions. « Ils doivent pas » pour « ils ne doivent pas », « Y a pas de raison » pour « Il n’y a pas de raison », « On peut pas supposer », etc. En revanche, « Doukipudonktan » ou « Tout de même quelle odeur » (fin du §1) ne reçoivent pas les marques de ponctuation qui montreraient l’exclamation ; c’est donc au lecteur de comprendre et de compenser…
— outre le verbe « puer », considéré comme impoli, Gabriel s’exprime très correctement. Ce n’est pas le cas du narrateur. Quelle surprise pour le lecteur ! De voir celui qui est d’habitude son allié, son aide, celui qui maintient la distance avec des personnages parfois ignobles et triviaux, employer soudain un langage argotique, vulgaire ou des tournures impropres : « s’en tamponna le tarin », « ce meussieu » (p. 7), la « rombière », « un ptit type », « celui qu’avait le droit de la grimper légalement » (p. 8), etc., expressions qui ne semblent pas venir d’un discours indirect libre (DIL) de Gabriel mais bien de la bouche du narrateur. C’est pourtant une des grandes inventions de Queneau : le narrateur parle comme ses personnages, parfois d’une façon pire — et le lecteur est entraîné dans cette révolution verbale et discursive.
— avoir « de la vitesse dans la repartie », variante intensifiée de « avoir la repartie facile »
— Barbouze, de chez Fior, voir note de bas de page.
page 8
— « Ça devrait pas être permis de… » expression courante d’appel à la loi et à la puissance de l’État (« sûre de son bon droit »)
— « rombière », argotique et populaire, selon le TLF.
— « tu te trompes, ptite mère, tu te trompes », reprise de forme et de sens de « Si tu t’imagines » et « ce que tu te goures » (texte de la chanson écrite par Queneau au début des années 1950 et chantée par Juliette Greco, voir lien ci-haut). Voir aussi « fillette, […] qu’est-ce que tu t’imagines » (p. 16). N’y a-t-il pas derrière cette chanson et ces passages une allusion au célèbre sonnet de Ronsard (dans Les Amours) , dans lequel il interpelle une « mignonne », l’invite à voir ses belles roses pour lui dire qu’elle est comme elles, éphémère, et qu’il faut profiter tout de suite de sa beauté ?…
— « le droit de la grimper légalement » = périphrase métaphorique insolente pour désigner le mari
— Gabriel, « c’est un malabar », deuxième information sur le personnage (après l’hygiène), information ici anodine mais importante par la suite (on est prévenu)
— après rapide raisonnement, le « ptit type » se décide à insulter Gabriel de « gorille » (qui pue), ce qui amène le :
— deuxième monologue intérieur de Gabriel : sur le recours à la violence entre les hommes depuis la nuit des temps, son dégoût de cela en tant qu’homme civilisé, sa résignation, et la généralité que « c’était toujours les faibles qui emmerdaient le monde » — on va donc de l’anthropologie à la philosophie politique !
— « gorille » VS « moucheron » : comiques métaphores animales qui exagèrent les proportions réelles pour que le lecteur visualise les silhouettes.
— ce qui amène la réponse de Gabriel : on voit ainsi, de façon comique et burlesque, le contraste entre longs monologues intellectuels VS paroles banales et vulgaires. En même temps, c’est une écriture qui mêle conversation et sous-conversation, à peu près comme le défend Nathalie Sarraute à la même époque — alors que Queneau n’est pas précisément considéré comme un proche du Nouveau Roman ! Par ailleurs, quand Queneau écrit, le stream of consciousness (courant de conscience, et en japonais) a déjà presque 60 ans !
— « le ptit type » VS l’armoire à glace », contraste renouvelé, on sourit encore de l’humour, mais on pourrait se lasser…
— Queneau change donc de niveau humoristique en recourant aux figures de style (les lecteurs se souviennent bien sûr de ses Exercices de style de 1947) : « pentasyllabe monophasé », puis « alexandrin » (p.10)
— « Skeutadittaleur », nouvel exercice de « néo-français » : « langage parlé devenant langage écrit au moyen d’une orthographe phonétique » (Cf. ici) = « ce que tu as dit tout à l’heure »…
page 9
— « bouclier verbal », belle métaphore visuelle de la position de défense, au moment où l’on s’apprête à passer de la parole au geste (« donner la beigne ») — n.b. 2010 : ne pas confondre avec « bouclier fiscal »…
— l’alexandrin n’en est un que parce qu’il ne comporte pas de négation, il est donc, pour les puristes, impropre… Il y est question du tutoiement, interdit par respect, alors que c’est cette personne qui tutoyait Gabriel en le traitant de gorille…
— « foireux » ne veut pas dire « lamentablement inefficace » mais « qui a peur, qui fait dans son pantalon » ; en effet, l’interlocuteur se couche « parmi les jambes des gens »…
— finalement, cette première péripétie entre des personnes s’achève sur la violence physique ; cela se reproduira… Mais le train qui arrive, « change le paysage » = les gens s’occupent d’autre chose, et le texte aussi.
— « les femmes, c’est toujours à la traîne » : remarque sexiste ; Gabriel en fera d’autres, par exemple au sujet de Marceline (p. 23), quand il s’oppose à ce qu’elle sorte sans lui
— « mouflette », mot d’étymologie incertaine, rattaché à « moufle » ou à « camouflet », pour lequel le TLF indique : « peut se déduire du wallon moufler « enfler ses joues (Grandg.) dér. de moufle « gros visage aux traits épais [aux joues gonflées comme pour souffler] » (1536, Rouen ds Sotties, éd. E. Picot, t. 3, p. 48)
— Zazie entre en scène et se présente ; le prénom est-il une invention de Queneau ? C’est possible. Il est sans doute un diminutif d’Isabelle (comme Isa). En tout cas, les informations sur les prénoms l’indiquent comme n’apparaissant dans la population qu’à partir des années 80, sous l’influence d’une chanteuse, qui a elle-même explicitement emprunté son prénom à l’héroïne de Queneau. Un site web littéraire frondeur et communautaire, Zazieweb, hélas fermé depuis quelques mois, a aussi pendant une dizaine d’années eu une grande importance dans « l’internet littéraire francophone »… Zazie peut aussi être rapproché de « zazou », mot né du scat de la chanson Zaz Zuh Zaz (1933) de Cab Calloway (1907-1994), nom donné à des jeunes gens bourgeois et farfelus des années 1940, habillés à l’anglaise ou à l’américaine et très amateurs de jazz américain, plutôt pro-alliés et dénoncés par les collabos (« Ces petits garçons aux pantalons trop courts de l’âge ingrat et aux belles boucles, ces petites filles aux genoux nus », in La Gerbe, 1942, journal collaborationniste pro-nazi, de juillet 1940 à août 1944) — on verra bientôt le thème de l’américanisation et Zazie aime le Coca-cola et les pantalons de jeans). On peut aussi le rapprocher du mot zizanie, d’abord une mauvaise herbe, puis une forme de discorde qui désorganise les relations entre les gens…
— « je suis ton tonton« , jeu verbal qui ridiculise le ton anobli
— « la gosse se mare », la langue du narrateur s’installe dans le registre familier, direct, au niveau des personnages ; le lecteur, s’il n’y est pas déjà, doit s’y mettre ou fermer le livre…
— reprise, positive, du thème du parfum, unifie le texte avec la 1ère partie
— « le colosse », autre qualification pour Gabriel, il semble que le narr. veuille nous en proposer toute une collection
— « Tu vois l’objet », parole imagée de Jeanne Lalochère, nom à sonorité populaire et un peu ridicule, venant de lieux (Lochères, Lochère, La Lochère, etc., existant en Normandie ou en Bourgogne, par exemple) et peut-être d’un verbe « locher », être mal fixé, de travers…
— « se fasse violer par toute la famille » et la suite : quelles moeurs ! Attestation des mauvais traitements d’enfants et de pédophilie très courante…
page 10
— « ici après-demain » à 6h60 ! terme du récit, programmation narrative, borne du roman
— « le métro », première occurrence et déception
— « Y a grève », fatalité à la française…
page 11
— « thomisme … kantien » VS « Charles attend« , calembour (in)volontaire…
— « je nous le sommes réservé », incorrection gramm. pour « je nous l’ai réservé », « pour nous » = confusion des pronoms
— « cœurs saignants » + « entrelardée » = c’est mettre les sentiments bien près de la viande !
page 12
— 45 « cerises de son printemps » = cadeau de sa jeunesse (un peu passée, tt de même)
— « la vache en puissance dans la poupée », autre parallèle ; une « vache » ou « peau de vache », femme cruelle qui fait souffrir son amant
— « snob mon cul », 1ère occ. de l’expression « X, mon cul ! », qui signifie : X, je m’en fous comme de mon cul, ce qui est derrière…
Tags : Calloway Cab, Dumayet Pierre, Gréco Juliette, OuLiPo, Queneau Raymond, Ronsard Pierre de, Truel Madeleine et Lucha
Publié dans le JLR
tu as mis plugin « textarea » dans ton Firefox ? – génial pour sécurité pendant l’écriture nuage
merci pour ton billet, suis en train préparer exercice pour mercredi à partir « Art Poetic' » du Cadiot, ça illustrera parfaitement
les années précédentes, on lisait ton cerisier en regardant le nôtre, là ça fait bizarre de lire ça avec la ville dans sa froidure et vent à décorner un routeur wifi
retourne régulièrement au St-Martin des Frites, si ça te permet de renouer avec nous autres lecteuréticulinaires…
Non, j’écris directement dans l’interface admin de WordPress, avec une extension d’éditeur visuel TinyMCE advanced pour avoir divers enrichissements caractères et mise en page…
Suis content que ça puisse te servir.
En revanche, contre vent et froidure, je ne peux pas t’aider.
Au SM, la bavette-frites, c’est nouveau. J’alternerai avec le poulet-frites.
Et je maintiens que les frites sont les meilleures que je connaisse !
Tu viendras bien, un jour.