Hospitalier en quatre temps
Périple hospitalier en quatre temps :
- D’Orléans au centre commercial Carré Sénart (c’est la deuxième fois que j’y viens, la première était avec mon père il y a six ans, T. et moi le trouvons beau, tranquille et pratique), déjeunons à la Croissanterie.
- Chez mon père à Yerres pour y prendre quelques affaires qu’il nous a demandé de lui apporter.
- Aux Jardins de Brunoy, le mardi n’étant pas pour lui un jour de dialyse. Où je donne également à mon père le dossier d’APA imprimé ce matin à la réception de notre hôtel (à remplir en partie par lui, en partie par le médecin, je devrai rechercher les documents à joindre). Y voyons aussi un voisin qui lui rend visite et lui apporte son courrier. Très sympathique. Mon père choisit le pull marron, je garde donc le beige. Quant au voisin de chambre, c’est un personnage probablement malhonnête dont il faudra se méfier…
- En coup de vent à Vigneux chez la tante A. qui a la gentillesse de s’occuper du linge de mon père.
Et retour à Orléans (j’ai maintenant mémorisé tous les changements d’autoroutes nécessaires) pour un dîner quasi officiel avec notre collègue R. et deux personnes de l’université, S. J. et J.-P. R. (les autres personnes prévues s’étant décommandées). Le restaurant décidé à l’avance est Le Bon Marché. Bonne humeur entre nous cinq, je n’entre pas dans les détails.
Malgré l’excellente ambiance en salle et un effort de style sur l’assiette, les goûts des aliments sont presque absents. Je me permets de le dire parce que c’est la troisième fois que j’y viens et qu’à mon grand étonnement le même phénomène se produit. Y a-t-il un traitement spécial pour rendre fades les aliments, ou est-ce un mauvais choix de fournisseurs ?
Publié dans le JLR