C’est noyé dans le poisson

dimanche 6 décembre 2009, à 23:59 par Berlol – Enregistrer & partager

Au soleil et à pied jusqu’au jardin Koishikawa Korakuen, comme une ou deux fois par an, et où c’est la saison des momijis (érables polychromes) et des troupeaux de photographes à immenses trépieds. Nous, on n’a que nos petits appareils, on se faufile.
Déjeuner au restaurant Sizzler du Tokyo Dome Hotel, avec buffet de légumes, de salades, soupes, currys, pains, desserts, fruits et boissons ; bon et pratique.

Retour à la maison et lecture (je commence la prise de notes en vue du cours sur Alto solo). Sortons de nouveau pour aller à Ginza où T. doit aller chercher une paire de chaussures. Du coup, à trois boutiques de là, j’en trouve aussi, alors que c’était pas prévu, des montantes, d’hiver.

Dînant et après, avec Reservoir Dogs (Tarantino, 1992), que nous n’avions jamais vu.
L’impression, comme ça, rapidement, que, comme dans ses films postérieurs, me semble-t-il, les dialogues annoncent / énoncent comment seront les personnages dans l’action. Bien sûr, ça prolepse sans le dire, c’est noyé dans le poisson de la conversation.
Inglourious Basterds trame la mission des yankees infiltrés sur la chaîne qui unit le chasseur nazi à la petite échappée juive. Pour ces deux-là, tout est dit dès la première scène. Mais on ne le sait qu’à la fin.
Piste à suivre pour revoir les autres Tarantino…

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Publié dans le JLR

Une réponse à “C’est noyé dans le poisson”

  1. J’ai pas trop aimé, moi, le dernier Tarantino. Mais je crois que je te l’ai déjà dit.

    Amicalement

    Phil