Antoine Volodine, « Écrire en français une littérature étrangère », Chaoïd, n° 6, automne/hiver 2002, p. 52-58.
Texte consultable, ainsi que le numéro de la revue, sur son site.
La pagination correspond à l’édition au format pdf, également en ligne (chaque numéro vaut pour une double page).
Pour mémoire :
INTRODUCTION
Il y a bientôt vingt ans, j’ai commencé à écrire pour un public. Ma
Lionel Ruffel, « L’impensable révolutionnaire (autour d’Antoine Volodine, d’Alain Badiou et de quelques autres) », Chaoïd, n° 1, été 2000, p. 45-59.
Article consultable, ainsi que le numéro de la revue, sur son site.
La pagination correspond à l’édition au format pdf, également en ligne.
Pour mémoire :
La liste des “ contre ” qui clôt Lisbonne dernière marge et orient
Jean-Didier Wagneur, « Tout se déroule des siècles après Tchernobyl » / entretien avec Antoine Volodine, Libération, 2 septembre 1999, p. II-III du Cahier Livres.
« Antoine Volodine : considérations post-exotiques » / propos recueillis par Romaris Sangars, Chronic’Art, n° 16, 06 octobre 2004.
disponible sur le site du magazine.
Pour mémoire :
Chronic’art : Bardo or not bardo est un livre-concept basé sur la récitation du Bardo Thödol, le livre des morts tibétain, qui doit permettre au défunt de s’orienter dans l’après-vie du Bardo. Ce livre au cen
Sébastien Omont, « Des anges mineurs », La Femelle du Requin, n° 17, hiver 2002, p. 81.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Des anges mineurs se présente comme un emboîtement de poupées russes, ou un calvaire, avec des stations pour descendre jusqu’à la passion de Will Scheidmann, puis pour remonter – vers le néant (Disons que j’avais été le
Laurent Roux, « Voyages en Volodinie », La Femelle du Requin, n° 17, hiver 2002, p. 76-80.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
A l’heure où l’univers médiatique se concentre sur un seul écrivain (réduire aide à comprendre, prendre rien avec rien), à l’heure où seul M. Houle-bec, fait s’épancher les plumes journalistiques, dans l’ombre, un
Sylvain Nicolino, « Antoine Volodine », La Femelle du Requin, n° 17, hiver 2002, p. 72-73.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
L’imposture sied au nouvel auteur que La Femelle du Requin aborde. En effet, Antoine Volodine est le créateur d’un monde parallèle dans lequel de multiples écrivains dissidents se débattent face à un assaill
Sébastien Omont, « Le port intérieur », La Femelle du Requin, n° 17, hiver 2002, p. 74-75.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Breughel appelle Kotter
À la fin du Port intérieur, Breughel étrangle Kotter.
Ou est-ce Kotter qui étouffe Breughel ? On reste dans l’incertitude, car Breughel a essayé d’écrire l’histoire de Kotter poursuivant Breughel,
Sébastien Omont, « Lecteur de librairie, narrateur exotique », La Femelle du Requin, n° 19, 2002, p. 54-55. Ill. de Didier Karkel.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Dans Des anges mineurs, précédent livre signé Antoine Volodine, on trouvait déjà un Dondog, Yasar Dondog, et en dépit de la différence de noms, on est tenté de le rapprocher de celui du roman éponyme, Dondog Balb
Laurent Roux, « L’auberge chamanique », La Femelle du Requin, n° 19, automne 2002, p. 50-53. Ill. de Didier Karkel.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
« On avait l’impression d’avoir pénétré dans un sas qui communiquait d’un côté avec une réalité banale, datée et localisée et de l’autre avec une réalité magique, où le
« L’humour du désastre » / entretien avec Antoine Volodine, La Femelle du Requin, n° 19, automne 2002, p. 38-49.
Propos recueillis le 27 août 2002 par Sylvain Nicolino, Laurent Roux et Sébastien Omont.
Début de l’entretien en ligne sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Antoine Volodine, vous aviez commencé par refuser cet entretien…
L’entretien, c&rsquo
Jean-Pierre Thibaudat, « 343 cris d’amazones », Libération, 25 avril 2005.
article disponible sur le site du journal.
Pour mémoire :
Ce soir, au théâtre de la Colline, 343 actrices, stars ou inconnues, disent un texte incandescent de Maria Soudaïeva. Une poésie de la révolte en 343 fois 3 slogans.
Slogans, par Maria Soudaïeva par 343 actrices sur l’incitation de Bérangère Bonvoisin, ce
Thierry Saint-Arnoult, « De la fêlure dans le post-exotisme », Remue.net, 25 janvier 2007.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Variations dystopiques
L’univers post-exotique se présente comme un univers dystopique. Au fil des romans, et par-delà les variations, plusieurs espaces se dessinent.
1. En premier lieu, on pointera les espaces prolétariens des usines et de l’exploitation dans
Alain Nicolas, « Des attentats contre la lune / entretien avec Antoine Volodine », L’Humanité, 23 août 2007.
en ligne sur le site du journal,
repris sur le site de la revue Remue.net avec le titre « L’Attentat Volodine ».
Pour mémoire :
Antoine Volodine fait partie de la petite famille des romanciers qui ont le pouvoir de créer un monde par la seule lecture de notre histoire, par la méditat
Dominique Dussidour, « Maria Soudaïeva | Slogans, traduction d’Antoine Volodine », Remue.net, 1er février 2008.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Dans une traduction et une adaptation d’Antoine Volodine, Charles Tordjman met en scène Slogans de Maria Soudaïeva au Théâtre de la Commune, à Aubervilliers, du 6 au 22 février 2008.
Slogans est un livre étrange, extraordinaire,
Thierry Saint-Arnoult, « Défense et illustration du post-exotisme en vingt leçons », Remue.net, 15 janvier 2009.
disponible sur le site de la revue.
voir notice de l’ouvrage.
Pour mémoire :
Avec la publication de Défense et illustration du post-exotisme en vingt leçons [1], sous la direction de Frédérik Detue et Pierre Ouellet, les études volodiniennes s’enrichissent d’un nouvel opus qui ouv
Anne Roche, « Nos Volodine préférés / Antoine Volodine, Nos Animaux préférés », Remue.net, 16 janvier 2006.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Antoine Volodine : Nos animaux préférés
Heureusement que ce livre n’était pas encore dans les bacs à Noël. Sur la foi du titre, vous auriez été tenté de l’offrir à votre petit neveu, et l’enfant en aurait été certainement trauma
Anne Roche, « Vue sur Antoine Volodine », Remue.net, 8 décembre 2006.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
L’œuvre d’Antoine Volodine, depuis Biographie comparée de Jorian Murgrave [1] en 1985, n’a cessé de gagner des lecteurs. La presse spécialisée s’en est fait l’écho, et en 1999 le prix Livre Inter et le prix Wepler pour Des anges mineurs [2] ont attiré l’attention d’un
Emmanuel Laugier, « L’âge des ombres », Le Matricule des Anges, n° 20, juillet-août 1997, p. 21.
en ligne sur le site de la revue.
repris sur le site LeLibraire.com.
Pour mémoire :
Nuit blanche en Balkhyrie s’ouvre par la description d’un lieu, un squat, un asile? et d’un homme, Breughel. On sait seulement qu’il est dans un monde qui, probablement, fête la victoire de ses élus, ce qui sign
« L’écriture, une posture militante » / entretien de Philippe Savary avec Antoine Volodine, Le Matricule des Anges, n° 20, juillet-août 1997, p. 20-22.
en ligne sur le site de la revue.
repris sur le site LeLibraire.com.
Pour mémoire :
En se frottant au monde qui ne tourne pas rond, Antoine Volodine prône une littérature autre, violente, sincère, en lutte contre toute forme de consensus, rejetant