Sarah André, « Animalité, sous-humanité et inhumanité dans l’œuvre d’Antoine Volodine », La Revue des Jeunes Chercheurs en Lettres (RJCL), n°3 [L’ange ou la bête ? Bestiaires littéraires de l’Antiquité à nos jours], février 2009.
Article disponible sur le site de la RJCL.
Copie pour mémoire :
Dans l’œuvre d’Antoine Volodine, la plupart des personnages revêtent des formes hybrides :
Jean-Louis Hippolyte, « Minor Angels : Toward an Aesthetics of Conflict », SubStance, n° 101, volume 32-2, 2003, p. 67-78.
Voir le sommaire du dossier dans la notice de ce numéro de revue.
Repris et modifié au chapitre 5 de Fuzzy Fiction, 2006.
Audrey Camus, « Construire les ruines du possible : anticipation politique et jeux de places dans la fiction volodinienne », EIDÔLON, Cahiers du laboratoire pluridisciplinaire de recherche sur l’imaginaire littéraire, n° 73 (Fictions d’anticipation politique), novembre 2006, p. 177-190. Presses Universitaires de Bordeaux.
Résumé, texte intégral et version PDF (revue et corrigée en mai 2008)
Frédérik Detue, « Des langues chez Volodine : un drame de la survie », Littérature, septembre 2008, 3, n° 151, p. 75-89.
présentation de l’article et accès abonnés sur le site Armand-Colin, éditeur de la revue.
Autre accès via le site Cairn (d’où les résumés ci-dessous proviennent).
Résumés :
Suivant la fiction qu’il construit, Antoine Volodine traduit les œuvres « post-exotique
Jean-Baptiste Harang, « Le porte-voix de Volodine », Le Magazine littéraire, n° 476, 1er juin 2008, p. 26-27.
début de l’article disponible sur le site du magazine.
Pour mémoire :
Il est rare que l’on se vante d’écrire les livres des autres, et c’est alors pour de mauvaises raisons. Jusqu’ici les voix du post-exotisme, comme celles de Dieu et du diable, semblaient impénétrable
Jean-Baptiste Harang, « Entrée libre chez Volodine », Le Magazine littéraire, n° 469, 1er novembre 2007, p. ppp.
début de l’article disponible sur le site du magazine.
Pour mémoire :
Les livres d’Antoine Volodine ont la réputation d’être difficiles. En réalité, la difficulté n’est pas d’y entrer, mais d’en sortir indemne. Les Songes de Mevlido est un thriller
Lionel Ruffel, « Radio Bardo. Une lecture de Bardo or not Bardo d’Antoine Volodine », Remue.net, [2004].
article au format pdf sur le site de la revue (et copie ici), lien donné dans le préambule de l’article d’Anne Roche, « Nos Volodine préférés », Remue.net, 2006 (ou ici).
Tel quel, pour mémoire :
En 2000 et 2001, entre Des anges mineurs (1999) et Dondog (2002), trois
séquences radi
Jean-Didier Wagneur, « Fiat Lutz », Libération, 22 mai 2008.
disponible sur le site du journal.
repris dans le Journal LittéRéticulaire du 3 juin 2008.
Pour mémoire :
Post exotisme. Volodine laisse écrire un de ses personnages.
Le nom de Lutz Bassmann n’est pas inconnu aux lecteurs des romans d’Antoine Volodine. Il a été le protagoniste du Post-exotisme en dix leçons, leçon onze (1998) et on a
Antoine Volodine, « Écrire en français une littérature étrangère », Chaoïd, n° 6, automne/hiver 2002, p. 52-58.
Texte consultable, ainsi que le numéro de la revue, sur son site.
La pagination correspond à l’édition au format pdf, également en ligne (chaque numéro vaut pour une double page).
Pour mémoire :
INTRODUCTION
Il y a bientôt vingt ans, j’ai commencé à écrire pour un public. Ma
Lionel Ruffel, « L’impensable révolutionnaire (autour d’Antoine Volodine, d’Alain Badiou et de quelques autres) », Chaoïd, n° 1, été 2000, p. 45-59.
Article consultable, ainsi que le numéro de la revue, sur son site.
La pagination correspond à l’édition au format pdf, également en ligne.
Pour mémoire :
La liste des “ contre ” qui clôt Lisbonne dernière marge et orient
Sébastien Omont, « Des anges mineurs », La Femelle du Requin, n° 17, hiver 2002, p. 81.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Des anges mineurs se présente comme un emboîtement de poupées russes, ou un calvaire, avec des stations pour descendre jusqu’à la passion de Will Scheidmann, puis pour remonter – vers le néant (Disons que j’avais été le
Laurent Roux, « Voyages en Volodinie », La Femelle du Requin, n° 17, hiver 2002, p. 76-80.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
A l’heure où l’univers médiatique se concentre sur un seul écrivain (réduire aide à comprendre, prendre rien avec rien), à l’heure où seul M. Houle-bec, fait s’épancher les plumes journalistiques, dans l’ombre, un
Sylvain Nicolino, « Antoine Volodine », La Femelle du Requin, n° 17, hiver 2002, p. 72-73.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
L’imposture sied au nouvel auteur que La Femelle du Requin aborde. En effet, Antoine Volodine est le créateur d’un monde parallèle dans lequel de multiples écrivains dissidents se débattent face à un assaill
Sébastien Omont, « Le port intérieur », La Femelle du Requin, n° 17, hiver 2002, p. 74-75.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Breughel appelle Kotter
À la fin du Port intérieur, Breughel étrangle Kotter.
Ou est-ce Kotter qui étouffe Breughel ? On reste dans l’incertitude, car Breughel a essayé d’écrire l’histoire de Kotter poursuivant Breughel,
Sébastien Omont, « Lecteur de librairie, narrateur exotique », La Femelle du Requin, n° 19, 2002, p. 54-55. Ill. de Didier Karkel.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Dans Des anges mineurs, précédent livre signé Antoine Volodine, on trouvait déjà un Dondog, Yasar Dondog, et en dépit de la différence de noms, on est tenté de le rapprocher de celui du roman éponyme, Dondog Balb
Laurent Roux, « L’auberge chamanique », La Femelle du Requin, n° 19, automne 2002, p. 50-53. Ill. de Didier Karkel.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
« On avait l’impression d’avoir pénétré dans un sas qui communiquait d’un côté avec une réalité banale, datée et localisée et de l’autre avec une réalité magique, où le
Jean-Pierre Thibaudat, « 343 cris d’amazones », Libération, 25 avril 2005.
article disponible sur le site du journal.
Pour mémoire :
Ce soir, au théâtre de la Colline, 343 actrices, stars ou inconnues, disent un texte incandescent de Maria Soudaïeva. Une poésie de la révolte en 343 fois 3 slogans.
Slogans, par Maria Soudaïeva par 343 actrices sur l’incitation de Bérangère Bonvoisin, ce
Thierry Saint-Arnoult, « De la fêlure dans le post-exotisme », Remue.net, 25 janvier 2007.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Variations dystopiques
L’univers post-exotique se présente comme un univers dystopique. Au fil des romans, et par-delà les variations, plusieurs espaces se dessinent.
1. En premier lieu, on pointera les espaces prolétariens des usines et de l’exploitation dans
Dominique Dussidour, « Maria Soudaïeva | Slogans, traduction d’Antoine Volodine », Remue.net, 1er février 2008.
disponible sur le site de la revue.
Pour mémoire :
Dans une traduction et une adaptation d’Antoine Volodine, Charles Tordjman met en scène Slogans de Maria Soudaïeva au Théâtre de la Commune, à Aubervilliers, du 6 au 22 février 2008.
Slogans est un livre étrange, extraordinaire,
Thierry Saint-Arnoult, « Défense et illustration du post-exotisme en vingt leçons », Remue.net, 15 janvier 2009.
disponible sur le site de la revue.
voir notice de l’ouvrage.
Pour mémoire :
Avec la publication de Défense et illustration du post-exotisme en vingt leçons [1], sous la direction de Frédérik Detue et Pierre Ouellet, les études volodiniennes s’enrichissent d’un nouvel opus qui ouv