Magdalena Silvia Mancas, « Du post-exotique postmoderne et du postmodernisme exotique : stratégies narratives chez Antoine Volodine », p. 181-195 dans Un retour des normes romanesques dans la littérature française contemporaine / actes du colloque des 24-27 septembre 2008 à l’Université d’Augsbourg (All.), dirigé par Wolfgang Asholt et Marc Dambre, Paris : Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2010
Dominique Soulès, « Post-exotisme et farcissure polyglotte. Des langues chez Antoine Volodine », Revue critique de fixxion française contemporaine, n°3, décembre 2011, p. 76-85.
Numéro de revue intitulé « L’écrivain devant les langues », dirigé par Dominique Combe et Michel Murat.
Article disponible à l’adresse suivante : http://www.revue-critique-de-fixxion-francaise-contemporaine.org
Sylvie Ducas, « Écrire l’insolite pour Antoine Volodine ou l’art du bobard dans Bardo or not Bardo », p. 159-171 dans Écritures insolites / dirigé par Arlette Bouloumié, Angers : P. U. d’Angers, 2008, 239 p., coll. Recherches sur l’imaginaire, Cahier XXXIII.
Mohamed Ridha Bouguerra, « Fonctions des ruines écrites », Thélème, revista complutense de estudios franceses, n°21, 2006, p. 15-33.
Lire l’article en ligne au format pdf ou par la plateforme d’accès.
Thélème est une revue des P. U. de Madrid.
Pour mémoire :
INTRODUCTION
Si le traitement pictural du thème des ruines, bien que magistral, fut assez bref
et limité, essentiellement, aux XVIIe
Alexandra Reuber, « À la recherche de l’identité dans Alto solo d’Antoine Volodine », Études françaises [P. U. de Montréal], vol. 46, n°2, 2010, p. 137-152.
Résumé paru sur le site Refdoc, notice 23235480.
Pour mémoire :
Le roman Alto Solo (1991) d’Antoine Volodine provoque deux questions fondamentales : « Qui suis-je ? » et « Qui es-tu ? » Ce sont des questions qui explor
Claire Richard, « Plongée en apnée dans le post-exotisme », La Quinzaine littéraire, n°1021, 1-15 septembre 2010, p. ppp.
Repris dans la page de Les aigles puent / Verdier.
Pour mémoire :
Trois auteurs, trois livres. Mais trois modulations d’une même voix, trois entrées sur un monde unique. Y plonger est une expérience de lecture sans équivalent, qui conjugue l’onirique et le politique, le lyr
Frédérik Detue, « Après le romantisme : post-exotisme de Volodine et tradition post-esthétique », La Licorne, n°88 (« Devant la fiction, dans le monde » / études réunies et présentées par Catherine Grall et Marielle Macé), 2009, p. 99-114.
La revue paraît au P. U. de Poitiers, voir sommaire en ligne.
Pierre Ouellet, « Au-delà des fins (1) » et « Au-delà des fins (2) », Remue.net, hiver 2010.
À lire, [1] et [2] sur le site de la revue Remue.net. Dans le texte copié ci-dessous, les notes y renvoient.
Pour mémoire :
« Fini, c’est fini, ça va finir, ça va peut-être finir… » Beckett nous a laissé, il y a déjà plus d’un demi-siècle, le leitmotiv de notre époque. Sa rengaine, sa ritour
Jacques Josse, « Lutz Bassmann, Manuela Draeger, Antoine Volodine, une communauté d’auteurs très active », Remue.net, 17 septembre 2010, [publié en ligne].
À lire sur le site de la revue Remue.net.
Pour mémoire :
Antoine Volodine a publié son premier livre, Biographie comparée de Jorian Murgrave, dans la collection « Présence du futur » chez Denoël, en 1985. Il a, depuis, signé de nombre
Simon Saint-Onge, « Ce que crypter veut dire ou L’expression utopique chez Antoine Volodine », La Licorne, n°87, octobre 2009, p. 105-120.
La revue est aux presses universitaires de Rennes.
Table des matières de ce numéro consacré aux écritures secrètes, sur le site de la revue.
Sabrinelle Bedrane, « L’engagement poétique d’Antoine Volodine : le communisme de la parole », p. 181-192 dans L’exception et la France contemporaine (Histoire, Imaginaire, Littérature) / sous la direction de Marc Dambre et Richard Golsan, Paris : Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2010, 288 p.
Voir table des matières et résumé du volume sur le site du Comptoir des Presses d’universi
Van Kelly, « Du bon usage des ruines : feux croisés de Céline et de Volodine », p. 141-153 dans Écritures de la guerre aux XXe et XXIe siècles / sous la direction de Marie-Hélène Boblet et Bernard Alazet, Dijon : E.U.D., 2010, 194 p., coll. Écritures.
Philippe Lançon, « Soviet Volodine, Tir groupé sous pseudo de l’auteur post-exotique », Libération, 9 septembre 2010.
Article accessible sur le site du journal.
Pour mémoire :
Comme l’Indien, un bon écrivain est un écrivain mort – ou presque. Le combat est perdu, il le sait, il continue. Il n’y a plus d’évolution. Il n’y a plus d’avenir. Il n’y a plus de rêve égalitaire ni d
Audrey Camus, « Sur le théâtre de la guerre post-exotique », p. 155-162 dans Écritures de la guerre aux XXe et XXIe siècles / sous la direction de Marie-Hélène Boblet et Bernard Alazet, Dijon : E.U.D., 2010, 194 p., coll. « Écritures ».
Présentation et résumé sur le site d’Audrey Camus.
Résumé :
L’œuvre d’Antoine Volodine est l’œuvre de la guerre : le monde désolé qu’elle d
Lionel Ruffel, « L’invention d’un corpus : Roberto Bolaño, Antoine Volodine », p. 305-316 dans Cycle et collection / dirigé par Christophe Pradeau et Vincent Ferré, Paris : L’Harmattan, 2008, 412 p.
Actes du colloque des 22-24 novembre 2006 à l’Université Paris XIII (Villetaneuse), organisé par Anne Besson, Christophe Pradeau et Vincent Ferré.
Dans sa bibliographie en ligne, l’aut
Lionel Ruffel, « L’international, un paradigme esthétique contemporain », p. 51-64 dans Où est la littérature mondiale ? / édité par Tiphaine Samoyault et Christophe Pradeau, Saint-Denis : Presses universitaires de Vincennes, 2005, 160 p., coll. Essais et Savoirs.
Actes du colloque du 6 novembre 2003, organisé par les universités Paris VIII et Paris XIII.
Dans sa bibliographie en ligne, l’auteur
Lionel Ruffel, « L’œuvre d’Antoine Volodine face à l’histoire révolutionnaire », p. 163-172 dans Le roman français au tournant du XXIe siècle / sous la direction de Bruno Blanckeman, Alina Mura-Brunel et Marc Dambre, Paris : Presses Sorbonne nouvelle, 2004, 593 p.
Actes du colloque international « Éléments pour une cartographie du roman contemporain depuis 1980. », du 23 au 25 mai 2002, Univer
Lionel Ruffel, « Dernière marge, l’exil ontologique dans les œuvres de Guyotat et Volodine », Spirale [Montréal, Québec], n°181, nov.-déc. 2001, p. 16-17.
Lionel Ruffel, « La communauté des sous-hommes : Burroughs, Guyotat, Volodine », p. 217-234 dans Politique de la parole. Singularité et communauté / sous la direction de Pierre Ouellet, Montréal, Éd. Trait d’union, 2002, 273 p., coll. Le soi et l’autre.
Voir couverture et 4e de couverture.
Recension de l’ouvrage dans le site Fabula.